Rives de Moselle : tirer les leçons de la gestion passée et des dossiers polémiques et se concentrer sur l'avenir et le développement du territoire

Le changement de gouvernance de notre communauté de communes, la Communauté de Communes Rives de Moselle, présidée maintenant par Julien FREYBURGER, qui a assuré l'ouverture et renforcé le dialogue, me permets à nouveau de participer à l'exécutif communautaire.

Chacun le sait, une nouvelle gouvernance est pleinement efficace quand elle tire les leçons du passé.
A ce titre, sur bien des dossiers et notamment sur celui de la piscine, il est essentiel de se rappeler la manière autoritaire et peu transparente avec laquelle Jean-Claude MAHLER a réussi à faire valoir ses choix auprès d'une majorité qui, on le comprend bien, est maintenant tenue de les assumer tant bien que mal.
Les conséquences calamiteuses de ces choix ne sont plus à démontrer.
Pour ne citer que quelques exemples :
- le terrain : il devait être mis à disposition gratuite, prêt à construire, mais la découverte d'amiante coûtera la bagatelle d'environ 600 000 euros,
- les travaux : ils n'ont pas encore réellement commencé mais la facture s'alourdit déjà de 5 Millions HT,
- le chantier : il est bloqué pour des mois alors qu'initialement l'objectif d'ouverture de la piscine avait été fixée à la rentrée scolaire 2017.     

Ceci étant, s'il faut certes tirer les leçons du passé, il faut aussi s'inscrire dans des perspectives d'avenir au service de notre communauté.
Je m'efforcerai donc d'assumer la vice-présidence qui m'a été confiée dans le domaine de la mobilité à partir de débats les plus ouverts possible car il s'agit pour notre territoire d'un enjeu essentiel pour répondre aux défis que posent son développement.

Vous trouverez ci-dessous mon interview dans les pages du RL en date du 16 Décembre dont je vous souhaite bonne lecture.